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Le blog du lundi (月曜日のブロッグ)

Le blog du lundi (月曜日のブロッグ)
  • Illustrateur français installé au Japon depuis 1991, je partage aujourd'hui plus ou moins équitablement ma vie entre l'enseignement du français langue étrangère, l'illustration, la bande dessinée, et l'adaptation de mangas pour le marché français.
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Le blog du lundi (月曜日のブロッグ)
25 avril 2011

Attention événement ! ヴァンサンの注目のイベント!

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26 avril 2010

2010年4月26日(月)

yanagawa_web

時間がないために長らく放置されていたこのブログ(しかし、必ずや再開しますよ!)ですが、私の大事な読者にお知らせをするために再び書き込みます。
新しい「放浪」シリーズや、 EPSONのdigigraphy® で印刷された「ワンダリング マインド」シリーズをもうすぐ展示します。
この個展は福岡にある九州日仏学館のギャラリーにて、2010年5月8日から22日まで。初日の8日の18時からはオープニング・パーティーが予定されています。入場無料、上質のワインが飲めるうえに、今回特別にファンに写真撮影を許可するつもりの素晴らしい作家も参加します!
たくさんのご来場お待ちしております!喜んでお迎えしますよ!
更に詳しい情報はこちら

26 avril 2010

Blog du lundi 26 avril 2010

yanagawa_web

Je réinvestis ce blog, laissé à l’abandon par manque de temps (mais je reviendrai, juré), pour signaler à mon fidèle public que j’exposerai bientôt mes nouveaux “Vagabondages”, ainsi que les pages de ma série “Wandering Mind” imprimées en digigraphie®, un nouveau procédé révolutionnaire imaginé par EPSON.
Ça se passera à la galerie de l’Institut Franco-Japonais du Kyûshû, à Fukuoka, du 8 au 22 mai 2010. Un vernissage est prévu le 8 mai à 18:00, l’entrée est gratuite et le vin de bonne qualité, sans compter la présence inestimable de l’auteur, qui exceptionnellement acceptera de se laisser photographier avec ses fans.
Venez nombreux, ça me fera plaisir.
Pour plus d’informations, voir ici

10 août 2009

2009年8月10日(月)

  私の前回のブログである2009年1月12日(!)にて,『ブログをしばらく、少なくとも2月まではお休みにすることにした』と書きました.
 7ヶ月が過ぎ・・・

 なぜかって?理由はいくつかあります.まず,いろんな計画がありとても忙しく,時間が足りなかったこと.それかむしろ,重要なことに集中して,私の時間のやりくりを最適なものにするため,このブログが急に最重要ではないように思えたからです.
 そして,きっとあなた方はこのブログがあるサイトのアドレスが変わっていることに気づいたしょう.atelierdecale.net(以前は.comでした)
 実を言うと,4月に前のウェブ・マスターとの激しい口論の末,私は新しいサイトをつくらなければいけなくなったんです.この,良い教訓になった苦い経験が,今日私がお話することのテーマです.
 私の最初のサイトは,福岡に住むカナダ人の友人とのコラボレーションで作られました.2003年のことです.当時,私たちはとても親しく,私もやっとのことでイラストレーションの仕事をしていて,彼はウェブ・デザイナーになるのを夢見ていました.彼は,訓練の為にも斬新で刺激的な計画を欲して,私は,自分のイラストレーターとしてのキャリアを公開する為のサイトを作りたいと思っていました.アトリエ・デカレはこのようにして生まれました.
 当時は,私は今より金銭的な余裕がなく,彼ももっと控えめでした.なので,彼がサイトを立ち上げ,技術的なオプションの選択に関しては全て自由に監督することで,私たちはわずかな値段で取り決めをしました.
 作業は何ヶ月かかかり,でも出来上がりは期待以上のものでした.そのサイトでは3つの言語を利用することができ,このサイトのお陰で私は出版業界にプロモーションをすることができました.
 2,3年の間は全てがうまく行ったのです.それにともない,私の仕事も増え,私の要求も明確になり,彼はもっと貪欲になったのです.彼が私のサイトの為に時間をかけたことを考え,私は彼の請求額,高い見積もりや遅い締め切りも承諾したのです.私達の結託は弱くなり,要するに,徐々に私たちはお互い専門的になっていったのです.
 その間彼は,他の計画に投資しだし,私のサイトを優先しなくなりました.逆説的ですが,私たちが普段からお互いを家族のように近しく捉えていたことが,状況を悪化させたのです.仕事上の繋がりから生じた結託の場合,情からは見逃されるということ―このことはとてもためになりました.こういった関係の基礎はそれぞれが置かれた状況での許容範囲内で結ばれるからです.
お互いがそれぞれの役割のために人間性には目をつぶります.そして,仕事上の置かれている立場の違いからあるとき突然友情が芽生えることもありますが,同僚と友達になるのは難しいのです.仕事上の仲間が本当の友人となることは稀だと思います.

 一方で,長い付き合いの友人と仕事を始めた場合,お互いの関係が慣れきっていて,予期しない理由や,最も多いパターンとして物質的な理由でたちまちその関係がうわべだけのもののようになってしまいます.しかし,元々友達だった場合,それが解決策にもなってくれるけれど,問題が複数になったときには,その友情こそがたちまち問題が悪化する原因にもなってしまいます.私の見解では,友人から裏切られたのではショックが大きく謝罪もなくなり,ただの同僚より多くを期待してしまいます.はっきりいうと,長引く不一致が簡単に深い亀裂に変化してしまうのです.
 これが私がウェブ・マスターとの間で生じたことから考えたことです.
もっとも,彼が最初に示した反応は,理解しづらいことで,私のサイトの接続を切ること(!)で,1ヶ月もの間接続が出来ない状態になっていました.それは,普通の人間関係においては絶対に許されることのない,全く違法な態度でしょう.
 彼に言い聞かせようと試みました(無駄でしたが).私はパスワードを知らずにアクセス出来ずにいたのでアメリカのサーバーに頼んでパスワードを変えてもらい,このようにした結果,私は解決策を見つけることができたように思います.しかし,その間,私は関係を断ち切り,すべてを変えることを決めました.そういうわけで,福岡のある機関を尋ね,(友達ではありませんよ!)新しいサイト,もっとシンプルで,もっと軽い,そして新しいアドレス(これも,象徴的ですが,私に取っては大事なことです)をつくることをにしました.
 新しいサイトについては,また次回のブログでお話しします.

 これらの悪い出来事は今では過ぎたことですが,でもこのことは私に辛い思いをさせました.
 とにかく,もう二度と長い付き合いの友人と,特に金銭の絡むこと,仕事の計画等を頼まないように,この経験は私に教えてくれました.

 逆境の中で学ぶ,と言うでしょう?
この意見から言うと,私のこの春はとても為になるものでした.

 では,よい1週間を!そして,また月曜日に!

ヴァンサン・ルフランソワ

10 août 2009

Blog du lundi 10 août 2009

Je pourrais faire comme si de rien était, et poursuivre avec une mauvaise foi retorse la narration de mes fabuleuses aventures.
Seulement voilà, ma malhonnêteté a ses limites, et mon éducation judéo-chrétienne me contraint à une certaine rigueur morale.
Surtout quand je relis ce que j’écrivais dans mon dernier blog, daté du 12 janvier 2009 (!) : «... C’est pourquoi je prends la décision de délaisser ce blog, au moins jusqu’en février.» (sic)
Sept mois plus tard donc…
Pourquoi ce silence ? Plusieurs raisons: d’abord j’ai été très occupé par divers chantiers (j’y reviendrai) et le temps m’a manqué. Ou plutôt, j’ai choisi de me concentrer sur l’essentiel, d’optimiser ma gestion du temps, et ce blog m’a soudain paru moins primordial.
Et puis surtout: vous aurez remarqué que son adresse a changé. Le site qui l’héberge est lui aussi à une adresse différente : atelierdecale.net (au lieu de com).
J’ai en effet dû me résoudre à construire ce nouveau site, suite à un clash violent avec mon précédent web master en avril dernier.
Là est le sujet dont je voudrais parler aujourd’hui, puisque j’ai tiré de cette douloureuse expérience de précieux enseignements.
Mon premier site, je l’ai créé en étroite collaboration avec un ami canadien habitant Fukuoka. C’était en 2003. A l’époque nous étions proches, je tentais tant bien que mal de m’imposer sur le marché de l’illustration, lui rêvait de devenir web designer. Or il avait besoin de s’exercer sur un projet original et stimulant, et j’avais besoin de créer un site pour lancer véritablement ma carrière de dessinateur en optimisant ma visibilité. Nous étions faits pour nous entendre. 
L’Atelier Décalé est né comme ça.
A l’époque, j’étais encore moins riche qu’aujourd’hui, et lui moins vénal et plus humble. Nous avons alors convenu d’un prix, modique, pour qu’il construise puis supervise le site, selon mes directives artistiques, mais en toute liberté quant aux options techniques choisies.
Le chantier a pris quelques mois, mais le résultat fut à la hauteur de mes espérances. J’ai ainsi pu profiter d’un site en trois langues très complet, qui de toute évidence aida à mon identification auprès des décideurs.
Tout s’est bien passé les deux, trois premières années. Puis, à mesure que ma production augmentait, que mes désirs se précisaient, il devint plus gourmand. Conscient qu’il passait du temps sur ce site, j’acceptai ses exigences, ses devis toujours plus chers, ses délais toujours plus longs.
Notre complicité faiblit à mesure que nous devenions scrupuleux, et les enjeux plus importants, bref à mesure que nous nous professionnalisions. Lui, entre-temps, s’était investi dans d’autres projets, et décida de ne plus donner la priorité à mon site.
Où la situation devient instructive, c’est que, paradoxalement, le fait que nous avions pris l’habitude de nous voir avec nos familles respectives dans un cadre plus personnel aggrava les tensions.
Une complicité qui se noue dans un cadre professionnel est libérée de tout affect. Je veux dire que les bases de cette relation sont construites autour des capacités de chacun dans un contexte donné. La personnalité s’efface au profit d’un rôle. Or, tant que la compétence n’est pas prise en défaut, tant que des considérations extra-professionnelles n’interfèrent pas, les sautes d’humeur ou les inclinations personnelles ne remettent pas en cause cette union imposée.
Et si un lien amical finit par se nouer, c’est que les protagonistes se sont trouvés, à un moment, dans une situation inhabituelle, découvrant un nouveau visage. Mais il est rare, je crois, qu’un collègue de travail se transforme en ami véritable.
Dans le cas contraire, quand on commence à travailler avec un ami de longue date, la relation pourtant rodée, établie, sincère, se trouve affectée soudain par des considérations imprévues, matérielles le plus souvent.
Or, si l’amitié initiale permet d’abord de niveler les différends, quand ils se multiplient, elle devient vite un facteur aggravant, puisque, de mon point de vue, on pardonne moins à un ami de nous décevoir, on attend de lui bien plus que d’un simple collègue. En clair, un désaccord durable peut vite se muer en rupture profonde.
C’est je crois ce qui s’est passé avec mon web master.
D’ailleurs sa première réaction, folle, démesurée, a été de déconnecter mon site (!), qui resta inaccessible pendant un mois. Un comportement totalement illégal qu’il ne se serait jamais permis dans un cadre professionnel ordinaire.
Après avoir tenté de le raisonner (en vain), puis bataillé auprès de mon hébergeur américain pour obtenir le changement de certains mots de passe, j’ai pu rétablir la situation. Définitivement semble-t-il. Mais j’avais entre-temps décidé de couper les ponts et tout changer (un réflexe de scorpion, ça). C’est pourquoi j’ai demandé à une agence à Fukuoka ( je les connaissais pas avant, je n’y ai pas d’amis, non non... ) de me construire un tout nouveau site, plus simple, plus léger, à une nouvelle adresse (ça aussi, symboliquement, pour moi c’était important).
Je reviendrai sur ma nouvelle «maison» dans un prochain blog.

Toute cette mésaventure est loin derrière maintenant, mais j’y aurai laissé des plumes.
Au moins m’a-t-elle convaincu de ne plus jamais me lancer dans un projet de longue haleine avec un ami, surtout si les enjeux sont financiers.
Au plus fort de ses ennuis fiscaux, on demanda à Françoise Sagan pourquoi elle ne demandait pas à ses illustres et richissimes amis de l’aider. Elle répondit : «Les amis, ce n’est pas fait pour prêter de l’argent, il y a les banques pour ça».
A priori je suis d’accord avec ce postulat, même si, dans son cas, ça s’est plutôt mal terminé.

On apprend dans l’adversité, dit-on.
De ce point de vue, j’ai eu un printemps des plus instructifs.

Bonne semaine et à lundi.

Vincent Lefrançois

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12 janvier 2009

2009年1月12日(月)

Voeux_2009

丑年になりましたね。経済学者たちの言葉を信じるなら、おそらく厳しい一年になるのでしょう。彼らはみんな悲観論者ですけど。
波に飲み込まれずに無事2010年にたどり着く。そのために特に大事なことは、今まで得たものを大事にして、それを失くさないようにすることでしょう。
イラストレーターとして、アダプテーターとして休みなく活動した2008年。アトリエ・デカレにとって、2009年は、現時点ですでに2008年の延長にあるように見えます。42歳にして、やっと私もこの道の人に!
これからの数週間の予定から考えると、春くらいには動脈硬化で大変なことになっているかもしれません。
主な理由は、二月までに谷口ジローさんの『冬の動物園』のアダプテーションを、続いてすぐ、夏までに同じ谷口さんの『坊ちゃんの時代』の第一巻のアダプテーションを仕上げないといけないからです。これはハステルマン社がフランスの読者向けに出版します。
その間に、連載 Wandering Mind の最終回までを描きあげ、同じ朝日ウィークリーで新連載を始めます。タイトルは 「The Maiden Voyage」 。4月中にその第一話が掲載されます。
4月までにNHK出版の新連載のレイアウトも決めなければならず、さらに毎月このための新しいゲームを考えなければなりません。
加えて毎週8コマの講義の仕事もあります。
これじゃ、不満を言ってるみたいですね、でも全然違います!ずっと望んでいたシチュエーションを手にしたことに心から満足しています。自分の仕事がいかにリスキーか分かっているからなおのことです。
言いたいのは、2008年同様2009年も私の最大の敵は時間だってことだけです。
今の状態なら、生まれつきの怠け癖に打ち勝てても、相変わらず仕事の多さに往生しているでしょう。
長く続くと、こういうプレッシャーはまるで監禁です。閉鎖的な空間を無理矢理作らなくてはならなくて、その外に出ると時間の浪費みたいに感じられてしまうんです。
ところが、タイミング、つまり人との出会いが重要になる仕事では、この状態、いわゆる「ひきこもり」状態が、逆説的にチャンスを減らしてしまうんですよね。
上手く説明しにくいんですけど。

時間を上手く使うことが鍵です。特に、大事なことに集中できるようになることが。
これがブログをしばらく、少なくとも2月まではお休みにすることにした一番の理由です。毎週数時間をブログにあてるだけのエネルギーが今の私にはありません。それにもし足かせになるようなら、このブログの意味がありませんからね。
それから、このブログをもっと活気のあるものにしたいと思っています。アイデアはいくつかあります、2月になったらお分かりいただけるでしょう。

近々またお会いしましょう!

ヴァンサン・ルフランソワ

12 janvier 2009

Blog du lundi 12 janvier 2009

Voeux_2009


Nous voici donc dans l’année de la vache. Maigre probablement, si l’on en croit les analystes, plus pessimistes les uns que les autres.
Il s’agira surtout, pour rester à la surface et atteindre 2010 sans perdre pied, de s’accrocher aux acquis. De ne pas perdre ce qu’on a gagné. "Est-il rien de plus parfumé, de plus pétillant, de plus enivrant que le possible ?" disait Kierkegaard. En clair, savourons l’acquis comme une victoire, et sachons nous en satisfaire.
Pour l’atelier décalé, d’ores-et-déjà 2009 semble préfigurer une continuité avec 2008, où mes activités d’illustrateur et d’adaptateur n’ont pas connu de relâche. Bon, pas de quoi se la raconter non plus: à 42 ans j’aurai mis le temps pour me stabiliser !
Si j’en juge par le programme des semaines à venir, je prévois même une rupture d’anévrisme aux alentours du printemps.
Jugez plutôt: j’aurai à terminer d’ici février l’adaptation d’"Un zoo en hiver" de Taniguchi, immédiatement suivie par celle du premier tome de "Au temps de Botchan", dont Casterman a racheté les droits pour le publier en sens de lecture universel, et que je devrai rendre avant l’été.
Entre-temps j’aurai dessiné mes dernières planches pour la série "Wandering Mind", et lancé la nouvelle série, toujours pour Asahi Weekly, qui devrait s’appeler "The Maiden Voyage", et dont la première page sera publiée courant avril.
D’ici là je devrai également maquetter ma nouvelle page pour NHK, puis l’alimenter en nouveaux jeux.
Tout ça en plus de mes 8 cours hebdomadaires.
Bon, j’ai l’air de me plaindre là, mais pas du tout ! Je tire une sincère satisfaction d’une situation que j’ai longtemps espérée, surtout quand on sait combien mon métier est aléatoire et ses réussites conjoncturelles.
Je veux seulement signifier que le temps sera mon pire ennemi, en 2009 comme en 2008.
J’avais écrit le 7 janvier 2008 :
"J’ai eu en 2007 la confirmation de mon incapacité chronique à courir deux lièvres à la fois, à me concentrer simultanément sur deux projets. (…) D’où une mauvaise gestion de mon temps. Et si j’ai eu l’impression d’avoir été très occupé ces derniers mois, au final, il en est sorti peu d’images. En 2008, je dois absolument apprendre à cultiver l’ubiquité. A savoir garder l’oeil droit ouvert sur le monde tandis que l’oeil gauche est rivé sur la table à dessins. Ou inversement les jours impairs."
Un an après, pas de quoi pavoiser. Si je parviens aujourd’hui à lutter efficacement contre ma tendance naturelle à la procrastination, je souffre toujours autant pour gérer une surchage de travail.
Sur une longue durée, ce genre de pression agit comme un enfermement, créant artificiellement un espace de vie en dehors duquel le temps passé est implicitement considéré comme perdu, voire coupable. Or, dans un métier où le timing, donc les rencontres, sont primordiaux, c’est une situation qui, en nous "désocialisant", grève nos vélléités de développement. Et ce quand bien même ce qu’on fait résulte d’un choix volontaire et assumé.
J’ai bien conscience du paradoxe de mon raisonnement. L’idée est un peu difficile à exprimer. On pourrait aussi la résumer par cette formule : "Trop de travail tue le travail" !

L’une des clefs, c’est la bonne gestion du temps. Et notamment apprendre à se concentrer sur l’essentiel, en évacuant l’accessoire.
C’est entre autres pourquoi je prends la décision de délaisser ce blog, au moins jusqu’en février. Je n’ai pas aujourd’hui l’énergie d’y consacrer quelques heures par semaine. Or s’il devient une contrainte, il n’a plus de raison d’être.
Et puis j’aimerais lui donner un nouveau tour. Plus vivant, plus ouvert sur le monde. J’ai des idées, vous en saurez plus en février.

Keep in touch, comme on dit dans les bars américains où je ne vais jamais.

Vincent Lefrançois

 

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